Cet article fait suite à la première partie sur l’économie du poker.

Alors quand on prédit un regroupement des poids lourds du poker en ligne, que les petits et moyens acteurs sentent leur indépendance fondre comme neige au soleil, on peut se demander comment les différents noms du poker peuvent se permettre de survivre en dehors d’Internet ?

Il faut souligner que l’intérêt grandissant pour le poker bénéficie aux salles de poker. Les campagnes marketing et la présence médiatique du poker transforment l’essai en ligne mais aussi en « live ».  Par exemple, certains cercles de poker rencontrent une nouvelle affluence.

On pourrait facilement croire qu’il en est de même pour les casinos qui eux aussi se mettent de plus en plus en accord face à cette nouvelle demande. Il semblerait cependant que l’effet ne soit pas aussi garanti. Autant pour certains casinos, l’installation de poker rooms a permis de satisfaire une demande et de fidéliser une nouvelle clientèle, autant d’autres établissements n’y trouverait pas la manne financière promise, notamment à cause des coups que représentent le matériel et le personnel. Cependant, les grands groupes de casinos ont tout de même compris la vague d’engouement pour le poker, preuve en sont les tournois lancés en grande pompe par ces grands groupes.

Le poker reste tout de même assujettit aux lois de l’offre et de la demande et il représente surtout un nouvel eldorado économique où la concurrence fait rage. Rien n’est acquis pour certain sur la durée.

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